Le souffle de nos enfants

Des enfants sont asphyxiés chaque jour un peu plus, dans l’indifférence générale.

Où?

En France, dans les écoles où nous les envoyons tous les jours.

L’école, censée être le lieu de tous les apprentissages, est en effet devenue le lieu d’un crime silencieux en continu, instillant au goutte-à-goutte dans le corps de nos enfants un poison dont nous n’avons pas fini de mesurer les conséquences.

Cela se passe avec la complicité de l’Education Nationale, de l’Académie de Médecine, ainsi que de celle des médias qui en taisent les énormes dégâts, dénoncés entre autres par la Société française de pédopsychiatrie, la neurologue allemande Dr Griesz-Brisson, ainsi que par une étude allemande portant sur 25000 enfants.

Et, ce qui nous semble plus grave encore, cela se passe aussi avec la complicité passive de leurs parents qui , victimes d’une propagande inédite censurant jusqu’au moindre questionnement légitime, ont apparemment perdu tout sens critique, voire même l’ instinct naturel et animal de protéger leurs enfants d’une agression .

Nous parlons bien sûr ici du port du masque, mesure jamais justifiée scientifiquement et dont il est noté sur la boîte qu’ « il ne protège pas du virus ».

Dégâts psychologiques : névroses, phobies, culpabilité, dépression, troubles divers.

Dégâts physiques : maux de tête, saignements de nez, oxygénation insuffisante, affections dermatologiques, essoufflement, fatigue.

Les symptômes qui signalent une saturation en carbone (vertiges, maux de tête, fatigue..) vont s’atténuer , faisant croire que l’enfant s’habitue au masque , alors que la sous-alimentation du cerveau continue, provoquant des dommages neurologiques irréversibles sur un jeune cerveau, qui a besoin d’une interaction constante avec le microbiome de la Terre pour se développer de façon optimale.

En plus de ces processus dégénératifs sur le cerveau, le déploiement de leur personnalité est fortement compromis par ce masque.

En effet, l’enfant est un être de langage, de lien, de parole et de sens.

A des âges où ils sont censés s’ouvrir à l’autre, sourire à l’autre pour faire sa connaissance, apprendre à exprimer leurs émotions, à percevoir celles des autres, préludes à des liens affectifs indispensables à un développement harmonieux, à leur survie biologique même, le port du masque obligatoire 8h par jour dès l’âge de 6 ans empêche toute interaction véritable entre eux.

Que perçoivent-ils du monde dans lequel nous les avons fait naître?

Des visages masqués, sans identité, déshumanisés et inexpressifs : dans ces conditions, à quoi bon essayer de communiquer, de jouer, de faire rire, de raconter, de réagir, de séduire ou de parler puisque la réaction de l’autre sera cachée derrière un masque?

Par ailleurs, d’un point de vue strictement scolaire, il est prouvé que le port du masque empêche une bonne mémorisation et une bonne concentration, compromettant donc tous les apprentissages qu’ils sont censés recevoir dans ce lieu.

De plus, l’enfant, qui n’est pas encore coupé de son corps comme le sont la plupart des adultes, ressent instinctivement et immédiatement l’inconfort du port du masque, comme une violence faite à son corps, contraire à la vie-même.

Malheureusement, il n’a pas les moyens d’admettre que l’autorité a tort, encore moins de se révolter contre l’enseignant ou ses parents complices d’une injonction tellement contraire à son bien-être, sous peine du deuil impossible de la croyance en la bienveillance de l’école et de ses parents, dont il a un besoin vital pour ne pas vivre dans la peur .

Il est donc obligé de se cliver de sa propre perception, de ne pas faire confiance à ses ressentis qui le pousseraient à se défaire du masque.

L’école , dont une des missions premières est d’éveiller le sens critique, le sens de ce qui est juste, lui apprend donc dès son entrée en CP la soumission à une injonction allant contre son bien-être immédiat, elle lui apprend à ne pas écouter ses sensations, à taire son indignation et sa souffrance en s’empêchant de se défendre contre une mesure qui le prive d’air.

Cette violente déprivation sensorielle , cette maltraitance inédite dans l’Histoire s’exerce sur eux au nom de la protection contre une maladie qui ne les concerne pas (le Covid est à 99, 99% bénin chez les jeunes), à propos de laquelle on les a même rendus potentiellement responsables de la mort de leurs grands-parents (voir les choquantes vidéos gouvernementales mettant en scène des grand- parents hospitalisés après avoir embrassé leur petit-enfant) s’ils ne se soumettaient pas à un arsenal de mesures liberticides qui empêche tout élan affectif naturel au sein des familles, et envers les amis.

Quand une société fait porter les peurs des adultes par les enfants, de qui elle exige par ailleurs une solidarité envers les plus anciens, qu’ elle prend en otage ses enfants pour des raisons idéologiques, elle signe là une inversion pathologique et gravissime des valeurs.

Cette lente asphyxie due aux masques, démontrée, effective, continue et hautement toxique, se double maintenant par ailleurs d’un risque inédit et inimaginable encouru à l’école : se faire injecter un produit génique non encore autorisé !!!!

En effet, alors qu’aucun texte de loi ne donne la moindre compétence au Ministre de l’Education Nationale en matière sanitaire, tous les parents ont reçu une lettre de l’établissement scolaire de leur enfant en début d’année les enjoignant fortement à le faire vacciner contre le covid.

Il est à noter qu’à partir de 12 ans, une simple signature d’un seul des parents suffit à cela .

En clair, cela signifie que n’importe quel enfant désireux de se faire » vacciner  » , c’est-à dire TOUS au vu de la propagande éhontée dont ils sont les cibles ces dernières semaines, peut facilement en imiter la signature pour ce faire.

Alors qu’à l’école, l’administration du moindre médicament (autorisé) avait toujours fait l’objet d’une procédure complexe et lourde , voici qu’aujourd’hui un enfant peut donc recevoir dans ses veines, à l’insu même de ses parents, un produit non encore autorisé injecté par des équipes mobiles de vaccination ayant pénétré à l’intérieur de son établissement scolaire.

Pour information : actuellement, dans ce même pays, la loi impose qu’afin de se faire tatouer, un mineur doive être accompagné d’un de ses parents, qui doit signer une déclaration de consentement après avoir été informé des risques encourus.

Or, les risques encourus par les enfants recevant cette injection génique sont sans commune mesure avec les risques du covid 19, qui sont quasi-inexistants pour cette tranche d’âge : cela a été et est attesté tous les jours par des chiffres glaçants, qui sont là encore occultés par absolument tous les médias.

L’autorité parentale pour les enfants de 16 à 18 ans a même été retirée pour l’occasion, permettant donc à des enfants de 16 ans à peine de recevoir une injection sans même en informer ses parents !

Il est par ailleurs scandaleux que des dizaines de milliers d’enfants de moins de 12 ans (!!) aient été injectés en cette rentrée avec un produit non encore autorisé, ni même testé sur cette tranche d’âge (60000 d’après Santé Publique France): qui sont les professionnels de santé indignes qui se sont livrés à ces actes totalement illégaux sur nos enfants dans notre pays?

Pour en revenir à l’école, en cette rentrée décidément à haut risque pour nos enfants, sont distribués des manuels scolaires où figure un texte faisant l’apologie du confinement, avec témoignage à l’appui d’enfant « heureux de la présence de ses parents à la maison » !!!

Confinements qui, rappelons-le, les avaient privés d’un enseignement scolaire décent, de contact avec la nature, de sport, de sortie et de jeux en plein air, sans même parler des enfants violentés par des parents rendus à moitié fous du fait de cet emprisonnement à domicile dans des logements parfois très exigus.

Les admissions à l’hôpital Necker avaient été multipliées par 6 et des enfants de 9 ans avaient tenté de mettre fin à leurs jours, c’était du jamais-vu !

Mais des confinements qui recommenceront sans doute puisque l’on cherche de toute évidence à les présenter comme bénéfiques….

Que nous est-il arrivé pour que nous acceptions l’inacceptable?

Depuis plus de 18 mois, la France est indéniablement devenue un état qui maltraite ses enfants, bafouant leurs droits les plus fondamentaux.

Au silence assourdissant , indigne et criminel des médias face à ce scandale, doit répondre un soulèvement en masse des parents, sous peine d’être accusés par l’Histoire de non-assistance à personne en danger sur la personne même de leurs propres enfants !!

Nous en appelons à toutes les femmes , les mères , les grands-mères, donneuses de vie, gardiennes immémoriales du souffle de leurs enfants et porteuses de sagesse ancestrale, afin qu’elles s’unissent et se lèvent partout en France pour défendre la chair de leur chair .

Par ces temps de chaos, résister est plus qu’un devoir, c’est un honneur !

Et ce serait l’honneur de la Corse que cet élan naisse ici.

Elle détient en effet le triste record de vaccinations sur les jeunes enfants (en ce moment même des enfants de 8 ans sont vaccinés par des médecins inconscients ) et a été le seul département à décider d’imposer volontairement les tests dans les bateaux et les avions dès l’été 2020 : tout était bon pour sauver la saison touristique, mais maintenant rien pour ses enfants !!

Dans cette île de beauté où les hommes ont été façonnés par des siècles de vie en accord avec une nature puissante, traditionnellement peuple de fierté et de résistance, aujourd’hui malheureusement pas un élu, pas un artiste n’a le courage de se mettre en travers de cette marche forcée vers un avenir terrifiant.

Face à ce silence intolérable, les femmes de Corse se doivent de puiser dans leur coeur et dans leur terre, bénie des dieux, assez d’amour, de force et de courage pour ouvrir la voie à un monde où la protection des enfants et du vivant sous toutes ses formes sera la priorité absolue, entraînant tous les hommes de bonne volonté dans un sillage lumineux qui ira de village en village libérer les enfants de ces contraintes qui n’ont rien de sanitaire…

Concrètement: des collectifs iront porter à la connaissance des chefs d’établissement, des enseignants et des parents les informations et les chiffres réels (sources officielles: Eudravigilance, ANSM, Santé publique France, le VAERS américain, publications médicales, études scientifiques..) des conséquences des effets indésirables graves de ces injections sur les enfants (Selon l’ANSM, 223 enfants sont décédés ou sont dans un état grave des suites de cette injection) ainsi que ceux des masques aussi toxiques qu’inutiles puisque tous ces chiffres plus qu’alarmants sont depuis 18 mois délibérément occultés par nos médias.

Dans toute vie arrive un moment où il faut se lever, s’élever : mes soeurs, l’heure est venue.

Une citoyenne corse, grand-mère d’Emmanuel, 6 ans.

PS ; Concrètement

Dès lors que les parents d’élèves ont été incités à faire « vacciner » leur enfant à travers un courrier du chef d’établissement reçu en début d’année, ce dernier doit répondre à une question essentielle:

Pourquoi ?

En effet:

-Aucune loi ne donne au Ministre de l’Education nationale la moindre compétence en matière sanitaire

-Cette vaccination n’est pas obligatoire

-La FDA qualifie ces produits, non pas de vaccins, mais de « thérapie génique expérimentale », qui n’ont reçu par ailleurs qu’une autorisation provisoire de mise sur le marché

-Cette proposition viole le secret médical en interrogeant le statut vaccinal de l’enfant

-Une discrimination, punie par la loi, est susceptible d’être pratiquée lors de l’évincement d’un enfant non « vacciné »de l’école en cas de covid dans sa classe.

-Pourquoi le document d’Eduscol destiné aux enseignants prétend-il qu’il n’y a pas d’effets indésirables graves, alors qu’ils sont avérés de source sûre? Les enseignants n’ont pas à être le relais d’une propagande mensongère, apparentée à un abus de pouvoir

Cela empêche un consentement libre et éclairé indispensable à l’accord des parents.

Et cela engage la responsabilité civile et pénale en cas d’effet indésirable de l’injection sur l’enfant. ..

Devant l’obstruction des info réelles, les collectifs « Le souffle de nos enfants » se proposent d’informer les chefs d’établissement scolaire, les enseignants et parents d’élèves des chiffres réels (Sources officielles : Eudravigilance, Vaers, ANSM) des effets indésirables des injections géniques ainsi que de la toxicité et l’inutilité des masques .

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